GEO : Prisma Media Solutions optimise le référencement IA des marques avec une nouvelle offre « Content for LLM »

La nouvelle offre "Content for LLM" de Prisma Media Solutions met la puissance et l'autorité des marques média du groupe au service du référencement des annonceurs par les modèles d'IA générative.

Grâce à des marques médias comme Capital, GEO, Femme actuelle, CuisineAZ, ou Télé-Loisirs, Prisma Media revendique une autorité éditoriale forte auprès des outils d’IA générative.

Le groupe veut monétiser celle-ci via le lancement d’une offre nommée « Content for LLM », qui mesure et optimise la visibilité des marques dans les réponses des IA génératives.

83% des marques ont amélioré leur visibilité sur les LLM grâce à Prisma

Mise en place avec l’adtech française Minddex, cette offre se base sur la capacité des contenus sponsorisés à être visibles dans les réponses générées par les IA.

« Sur les articles sponsorisés ou content-to-commerce analysés sur les sites de Prisma Media, 83% des marques ont déjà amélioré leur visibilité avec au moins une marque de Prisma Media citée dans le Top 15 des sources », indique le communiqué de la régie.

L’offre « Content for LLM » comprend trois volets :

Un audit du référencement des marques par les principaux outils d’IA générative et l’identification d’opportunités de visibilité au sein des titres du groupe Prisma.
La rédaction d’articles sponsorisés optimisés pour l’IA à partir de 10 000 €, puis leur diffusion au sein des médias du groupe et de ses partenaires.
La mesure de l’impact de ces contenus sur le référencement des marques, et l’optimisation des stratégies afin de maintenir leur positionnement.

« Les LLM scannent tous les jours nos sites afin d’enrichir leurs réponses à des requêtes sur des sujets liés à l’économie, la mode ou la cuisine. Notre objectif est d’influencer ces réponses en positionnant des marques. C’est une nouvelle révolution qui est en cours et qui ouvre de nouvelles perspectives de business pour les médias, après celle du social qui avait permis le développement du social publishing, de formats content-to-commerce et autres opérations spéciales », nous explique la régie.

Pour aller plus loin :